Le petit garcon et le tigre

Enfin, mon histoire numérique...

C'est une histoire qu'est née d'une situation très complexe et collé. Parfois, mettre quelque chose de difficile dans des mots simples, créant une intrigue simple, on peut communiquer directement avec le cœur de l'autre personne. Au moins c'est ce que j'ai essayé de faire ... à vous de juger du succès de ma tentative.

N est pour Neville qui est mort d'ennui

Edward Gorey était un génial illustrateur et auteur. J’étais chanceuse de trouver un’ article sur lui et j’étais chanceuse deux fois parce que l’article est écrite en française.  Il y a beaucoup chose Gorey a fait avec brio mais son approche de vilains est vraiment fantastique et cet article l’apporte au point :

Les actes monstrueux ne sont pas le fait de sorcières baveuses et velues, ni de diables mi-boucs, mi-hommes. Le monstre est souvent un gentil voisin, serviable et poli, un collègue sympathique qui a toujours le mot pour rire, une aimable éleveuse de canaris et perruches, un bon fils qui aime sa maman encore plus que Hitler. (Hors Cadres, No 11 Oct – Mars 2013)

Tout le mondes a un côté sombre. Quelqu’un pourrait être un monstre en fonction des circonstances. Tout animal qui est acculé attaque! Pour exemple un violent alcoolique est aussi un enfant blessé, une âme perdue et un mari non-aimé. Et à cause de la représentation d’Edward Gorey de la banalité des monstres on peut reconnaitre ses humanités.

Je crois aussi que la façon dont Gorey nous montre les monstruosités du son conte est très bon. Il n'est pas ouvert, mais il laisse à l'imagination du lecteur de peindre une image. J'ai été présenté à son travail au cours d’illustrateur. Ma tâche était illustrer "N est pour Neville qui est mort d'ennui" sans regarde l’original de Gorey s’appelle « The Gashlycrumb Tinies » (http://en.wikipedia.org/wiki/The_Gashlycrumb_Tinies).

Il y a trois exemples de mon travail :

Je voudrais terminer cet article avec une citation de l'article que j'ai lu : « Nous rappeler que le mal est mal n’eût été que moralisateur »  (Hors Cadres, No 11 Oct – Mars 2013)

 

Il y a aussi l'original d'Edward Gorey:





Je recommende le magazine "Hors Cadres - Observatoir de l'album et des litteratures graphiques" pour quelqu'un qui se interesse des illutrations!

Peu importe ce que = No Matter What

La vie est imprévisible et j'adore les histoires pour enfants qui traitent de grandes questions qui viennent de façon inattendue. "No Matter What" est un petit bijou d'un livre qui traite de la peur des enfants (et les adultes bien sûr) de ne pas être aimable plus.

 

Cela raconte l'histoire d'un jeune renard qui n'est pas sûr qu'il soit aimé. Il pique une colère pour voir si son mauvais comportement fera sa mère se détourner de lui. La mère renard répond patiemment et avec amour. Le jeune homme teste sa plus loin en posant une série de "Que faire si ...? " Questions. Voulez-vous m'aimez si j'étais un crocodile, un ours, un ver?

 

 

Recevoir assurances chaleureux à tous ses requêtes, Colin demande enfin la grande question "Voulez-vous m'aimer après votre mort? " Le renard de mère aimante lui montre tranquillement les étoiles dans le ciel nocturne et compare son amour pour lui à leur ancienne lumière.

 

J'aime ce livre parce que nous sommes tous confrontés cette peur de temps en temps que nous traversons une période difficile - si la lecture de ce livre à un enfant le week-end réchauffé mon cœur aussi!

Peu importe ce que...